J’avais surnommé ce petit mâle Teddy Bear.
Mme Teddy Bear.
Le mâle se doit d’être reconnu par la femelle sinon il risque gros. A cette fin il parade à distance.
- Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les sauteuses ne passent pas leur temps à sauter. Ce sont les mâles « terrestre » qui durant leur quête de compagne utiliseront le plus le saut.
Les araignées ne se nourrissent que de proies vivantes. Chez les femelles de Aelurillus, on attend qu’une proie passe à proximité.
- Sous le signe du V.
Cette espèce est une des seules que j’ai vu capable de capturer des fourmis.
Ce petit mâle semble intimidé par le monde qui l’entoure.
Carrhotus xanthogramma, promis juré, pas de carottes au menus mais bien des insectes.
Un espace entre 2 feuilles me servira de refuge.
Le fil n’est utilisé chez les salticides que pour confectionner un refuge pour la nuit, pour le cocon et comme fil de sécurité.
Pour expliquer à une femelle qu’il n’est pas une proie mais bien un prétendant, ce mâle utilise la langue des signes.
C'est lui msieur, c'est lui.
- Le dimorphisme sexuel est de rigueur chez les salticides, dimorphisme de taille et de couleur.
Même quand on a 8 pattes la grimpette est dure.
Une fois la proie repérée, une sauteuse devra calculer la distance qui les sépare pour un saut parfait.
Evarcha arcuata fréquente la végétation basse et, entre autre, les cornouillers. Ceux-ci offrent en automne des fonds de bon ton.
Evarcha arcuata est le modèle incontournable pour moi. Elle a tout pour elle, son abondance, sa façon de poser, petit point négatif cependant : elle est fort contrastée, attention donc à l’exposition.
La gravité, connais pas.
Zen attitude… Cette posture est, vous l’aurez compris, plus une attitude de repos que d’attaque.
Il m’arrive parfois de dépasser les limites du raisonnable en terme de vitesse. Quand j’arpente un site je frise largement les 0,1 km/h.
- Dominer la situation pour mieux repérer ses proies.
Celle-ci fréquente les muriers en bois et forêts.
Ce mâle possède comme un cœur au dessus des yeux antérieurs, rien de tel pour plaire aux filles.
I am very épi to meat you.
Les pédipalpes gonflés indiquent un mâle mais la couleur jaune laisse à supposer qu’il n’est pas encore adulte.
Le pédipalpe du mâle est à comparer à une clef, les genitalia de la femelle à une serrure. Les clefs et les serrures sont propres à chaque espèce.
Si certains utilisent des subterfuges pour un rendu agréable, je ne prends mes photos que dans la nature avec un minimum de dérangement.
- Je vous présente ma moitié. Le mâle tente de loger son pédipalpe dans l’orifice de la femelle situé sous l’abdomen.
Dans le département des Ardennes, j’ai pu recenser 33 espèces. En France il est possible d’en trouver 150 espèces.
Il n’y a que les Heliophanus pour s’aventurer ainsi.
mieux qu’un 4x4, un 8 pattes motrices qui permet des situations renversantes.
Encore une position inconfortable.
tribulosus est reconnaissable grâce aux joues rouges.
Des amis me demandent comment je fais pour les voir car eux n’en voient jamais. C’est probablement dû à l’habitude de scruter un mouvement ou une forme anormale dans un milieu adéquat.
Marpissa muscosa est l’une des plus grandes salticides européennes, elle ne dépasse que rarement les 12 mm.
A part le bandeau coloré sous les yeux antérieurs, la femelle Marpissa muscosa possède un habitus très mimétique.
- On compare souvent les pédipalpes des mâles d’araignées à des gants de boxe. Allez savoir pourquoi ?
- Cette espèce est liée aux zones humides, principalement aux phragmites.
Anciennement nommé Marpissa cette espèce pourrait participer, avec ses paillettes et sa taille longiligne, à un défilé de mode.
Si monsieur a les paillettes, moi j'ai mes cils.
La disposition des yeux permet une vue à 360°.
Rien de tel que d’avoir des échasses pour voir encore plus loin.
Certaine sauteuses ont décidées de se déguiser en fourmis.
Certaines espèces ne dépassent pas les 3mm, comment voulez-vous ne pas passer à coté…
Cette petite chose passait la plupart de son temps la tête en bas, renversant.
- je vous accueille bras ouverts.
La grande majorité des salticides sont déterminables à partir de photos, ce qui n’est pas le cas de nombre d’araignées. Ceci est assez motivant de savoir que l’on pourra mettre un nom sur notre sujet.
Les Pellenes sont plutôt terrestres et ne s’aventurent qu’occasionnellement dans la végétation.
Certaines salticides sont terrestres. Je regrette souvent d’être aussi grand et elles aussi petites.
Un joli bokeh.
Une galerie de photos de sauteuses sans saut serait comme un clafoutis sans cerises.
Cette Chrysops est en plein repas. Accaparée par son assiette, elle sait qu’elle est moins en sécurité.
Une fois adulte, les mâles n’ont plus qu’un objectif, conquérir une femelle. Au point d’en oublier de s’alimenter.
Philaeus chrysops est l’une de nos salticides les plus colorées. Elle est pourtant largement reléguée par la beauté fascinante de sujets américains ou australiens.
Comme la majorité des araignées, les sauteuses possèdent 4 paires d’yeux qui sont utilisés pleinement.
Phlegra fasciata est une espèce qui se montre difficilement. Pour ce mâle rien n’attire l’attention.
Cette Pseudicius fréquente les pins. Un faux mouvement et c’est la chute mais où est le problème quand on se promène en permanence avec son filin de sécurité.
Pour la grande majorité des espèces ce sont les mâles que l’on croise le plus souvent lors de leurs pérégrinations.
Chez les Salticus les mâles possèdent des chélicères surdimmensionnées, le but, impressionner les concurrents.
Cette femelle de Salticus scenicus attend que le venin fasse effet. Cette punaise, une fois paralysée pourra être dégustée.
Des bas très tendance.
Une des plus dures à photographier, petite, toujours en mouvement et pas de pause syndicale.
J’avais surnommé ce petit mâle Teddy Bear.
Mme Teddy Bear.
Le mâle se doit d’être reconnu par la femelle sinon il risque gros. A cette fin il parade à distance.
- Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les sauteuses ne passent pas leur temps à sauter. Ce sont les mâles « terrestre » qui durant leur quête de compagne utiliseront le plus le saut.
Les araignées ne se nourrissent que de proies vivantes. Chez les femelles de Aelurillus, on attend qu’une proie passe à proximité.
- Sous le signe du V.
Cette espèce est une des seules que j’ai vu capable de capturer des fourmis.
Ce petit mâle semble intimidé par le monde qui l’entoure.
Carrhotus xanthogramma, promis juré, pas de carottes au menus mais bien des insectes.
Un espace entre 2 feuilles me servira de refuge.
Le fil n’est utilisé chez les salticides que pour confectionner un refuge pour la nuit, pour le cocon et comme fil de sécurité.
Pour expliquer à une femelle qu’il n’est pas une proie mais bien un prétendant, ce mâle utilise la langue des signes.
C'est lui msieur, c'est lui.
- Le dimorphisme sexuel est de rigueur chez les salticides, dimorphisme de taille et de couleur.
Même quand on a 8 pattes la grimpette est dure.
Une fois la proie repérée, une sauteuse devra calculer la distance qui les sépare pour un saut parfait.
Evarcha arcuata fréquente la végétation basse et, entre autre, les cornouillers. Ceux-ci offrent en automne des fonds de bon ton.
Evarcha arcuata est le modèle incontournable pour moi. Elle a tout pour elle, son abondance, sa façon de poser, petit point négatif cependant : elle est fort contrastée, attention donc à l’exposition.
La gravité, connais pas.
Zen attitude… Cette posture est, vous l’aurez compris, plus une attitude de repos que d’attaque.
Il m’arrive parfois de dépasser les limites du raisonnable en terme de vitesse. Quand j’arpente un site je frise largement les 0,1 km/h.
- Dominer la situation pour mieux repérer ses proies.
Celle-ci fréquente les muriers en bois et forêts.
Ce mâle possède comme un cœur au dessus des yeux antérieurs, rien de tel pour plaire aux filles.
I am very épi to meat you.
Les pédipalpes gonflés indiquent un mâle mais la couleur jaune laisse à supposer qu’il n’est pas encore adulte.
Le pédipalpe du mâle est à comparer à une clef, les genitalia de la femelle à une serrure. Les clefs et les serrures sont propres à chaque espèce.
Si certains utilisent des subterfuges pour un rendu agréable, je ne prends mes photos que dans la nature avec un minimum de dérangement.
- Je vous présente ma moitié. Le mâle tente de loger son pédipalpe dans l’orifice de la femelle situé sous l’abdomen.
Dans le département des Ardennes, j’ai pu recenser 33 espèces. En France il est possible d’en trouver 150 espèces.
Il n’y a que les Heliophanus pour s’aventurer ainsi.
mieux qu’un 4x4, un 8 pattes motrices qui permet des situations renversantes.
Encore une position inconfortable.
tribulosus est reconnaissable grâce aux joues rouges.
Des amis me demandent comment je fais pour les voir car eux n’en voient jamais. C’est probablement dû à l’habitude de scruter un mouvement ou une forme anormale dans un milieu adéquat.
Marpissa muscosa est l’une des plus grandes salticides européennes, elle ne dépasse que rarement les 12 mm.
A part le bandeau coloré sous les yeux antérieurs, la femelle Marpissa muscosa possède un habitus très mimétique.
- On compare souvent les pédipalpes des mâles d’araignées à des gants de boxe. Allez savoir pourquoi ?
- Cette espèce est liée aux zones humides, principalement aux phragmites.
Anciennement nommé Marpissa cette espèce pourrait participer, avec ses paillettes et sa taille longiligne, à un défilé de mode.
Si monsieur a les paillettes, moi j'ai mes cils.
La disposition des yeux permet une vue à 360°.
Rien de tel que d’avoir des échasses pour voir encore plus loin.
Certaine sauteuses ont décidées de se déguiser en fourmis.
Certaines espèces ne dépassent pas les 3mm, comment voulez-vous ne pas passer à coté…
Cette petite chose passait la plupart de son temps la tête en bas, renversant.
- je vous accueille bras ouverts.
La grande majorité des salticides sont déterminables à partir de photos, ce qui n’est pas le cas de nombre d’araignées. Ceci est assez motivant de savoir que l’on pourra mettre un nom sur notre sujet.
Les Pellenes sont plutôt terrestres et ne s’aventurent qu’occasionnellement dans la végétation.
Certaines salticides sont terrestres. Je regrette souvent d’être aussi grand et elles aussi petites.
Un joli bokeh.
Une galerie de photos de sauteuses sans saut serait comme un clafoutis sans cerises.
Cette Chrysops est en plein repas. Accaparée par son assiette, elle sait qu’elle est moins en sécurité.
Une fois adulte, les mâles n’ont plus qu’un objectif, conquérir une femelle. Au point d’en oublier de s’alimenter.
Philaeus chrysops est l’une de nos salticides les plus colorées. Elle est pourtant largement reléguée par la beauté fascinante de sujets américains ou australiens.
Comme la majorité des araignées, les sauteuses possèdent 4 paires d’yeux qui sont utilisés pleinement.
Phlegra fasciata est une espèce qui se montre difficilement. Pour ce mâle rien n’attire l’attention.
Cette Pseudicius fréquente les pins. Un faux mouvement et c’est la chute mais où est le problème quand on se promène en permanence avec son filin de sécurité.
Pour la grande majorité des espèces ce sont les mâles que l’on croise le plus souvent lors de leurs pérégrinations.
Chez les Salticus les mâles possèdent des chélicères surdimmensionnées, le but, impressionner les concurrents.
Cette femelle de Salticus scenicus attend que le venin fasse effet. Cette punaise, une fois paralysée pourra être dégustée.
Des bas très tendance.
Une des plus dures à photographier, petite, toujours en mouvement et pas de pause syndicale.
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